• Cité perdue

    Huile sur papier


  • Commentaires

    1
    Eric B.
    Vendredi 4 Février 2011 à 17:38
    Le Gallois
    Combien rudes furent les embûches tout au long de ton parcours ! Dans les haleurs des eaux tièdes des marais, au milieu du brouillard des aubes pales où s’alanguissent les fantômes, dans les creux des ornières des chariots du diable, loin des dieux et des hommes… Et combien longues furent toutes ces années d’errance à poursuivre ta quête ! Et comme tes épaules sont lourdes à présent dans le temps dérobé ! Parsifal, trouveras-tu jamais le repos ?
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