que n'ai je...
que n'ai je vu
que vous preniez
le soin d'aimer
dès le début
quand mon cœur gris
battant tristesse
de sa détresse
de n'être pris
errait tragique
en son humeur
mélancolique
que n'ai je su
au premier soir
les vœux d'espoir
et de salut
que vous formiez
dans les silences
plein d'éloquence
de vos pensées
que peu de cœurs
aurait manqué
d'en lire l'honneur
que n'ai je pu
quand il fallait
sentir l'attrait
des fils ténus
que vos regards
tissaient sur moi
comme une soie
sertie d'égards
de vos aveux
et des promesses
de vos yeux
mais la nuit vient
et je ne sais
taire les regrets
que l'âme étreint
les soirs d'été
dans la chaleur
du temps qui meurt
où vous étiez
comme une souffrance
qui attendrait
sa délivrance.
que n'ai je vu que vous preniez le soin d'aimer dès le début quand mon cœur gris battant tristesse de sa détresse de n'être pris errait tragique en son humeur mélancolique que n'ai je su au premier soir les vœux d'espoir et de salut que vous formiez dans les silences plein d'éloquence de vos pensées que peu de cœurs aurait manqué d'en lire l'honneur que n'ai je pu quand il fallait sentir l'attrait des fils ténus que vos regards tissaient sur moi comme une soie sertie d'égards de vos aveux et des promesses de vos yeux mais la nuit vient et je ne sais taire les regrets que l'âme étreint les soirs d'été dans la chaleur du temps qui meurt où vous étiez comme une souffrance qui attendrait sa délivrance.